Sommaire
Gestion déficiente : la délégation désorganisée
Lorsqu’il est submergé par les tâches, un mauvais manager tend à se décharger des responsabilités les moins attrayantes. Il confie les situations complexes et les tâches ingrates à ses collaborateurs sans organiser ni répartir le travail selon les compétences de chacun.
Gestion nocive : contrôler sans soutenir
Il est souvent dit que « la confiance n’empêche pas le contrôle ». Toutefois, un gestionnaire inefficace contrôle de manière excessive sans faire preuve de confiance. Cela crée une dynamique de méfiance et d’autorité, où les collaborateurs ne sont vus que comme des exécutants. Ce type de manager néglige également son rôle de conseiller et d’accompagnateur et reste peu accessible pour son équipe.
Gestion défaillante : le piège du micro-management
Extrêmement méticuleux, le mauvais manager se perd dans les détails sans laisser d’espace à ses équipes, ni en termes de responsabilités ni de délais. Ce comportement de micro-management peut lui donner une fausse impression de compétence.
Gestion désastreuse : la tyrannie du petit chef
Un mauvais manager se distingue par sa propension à donner des ordres et à contrôler minutieusement le travail accompli. Il sollicite rarement l’opinion de ses collaborateurs et, lorsqu’il le fait, il ne prend généralement pas en compte leur point de vue. Il évite toute forme de gestion collaborative ou participative, préférant un style autoritaire et souvent en rappelant qu’il est le seul décideur.
Gestion toxique : l’autoritarisme destructeur
Ce type de manager impose son autorité sans posséder de véritable charisme, s’appuyant plutôt sur des décisions arbitraires et des sanctions. Dans son équipe, il est préférable de se conformer plutôt que de prendre l’initiative. L’autonomie et la responsabilisation sont découragées.
Gestion inefficace : il fragmente les tâches
En divisant le travail, le mauvais manager réduit ses collaborateurs à de simples exécutants. Il ne fournit pas de vision d’ensemble, ce qui lui permet de maintenir un contrôle, mais révèle aussi son manque de vision globale.
Gestion limitée : une vision absente
Un bon manager doit comprendre son environnement et avoir une vision globale, ce qui manque souvent à un mauvais manager. Préoccupé par son autorité, il ne parvient pas à insuffler une direction claire à son équipe, ce qui entraîne une gestion incohérente des projets.
Gestion problématique : ne pas gérer la pression
Un mauvais manager réagit souvent impulsivement sous la pression, ce qui peut conduire à des tensions et un malaise au sein de l’équipe.
Gestion irresponsable : se défausser des problèmes
Au lieu de protéger ses équipes, un mauvais manager leur attribue la faute en cas de problème tout en s’attribuant les réussites pour sa propre gloire. Son intérêt personnel passe avant le développement de son équipe.
Gestion divisive : régner en divisant
Alors que l’objectif d’un manager devrait être d’unir son équipe, un mauvais manager encourage la compétition et pratique le favoritisme, ce qui mène à des conflits internes et à un manque de cohésion.
Gestion défaillante : créer des conditions d’échec
En fixant des objectifs irréalistes et en surchargeant ses équipes, le mauvais manager met en place les conditions pour l’échec sans fournir les moyens nécessaires pour réussir.
Gestion nocive : une communication toxique
Manipulateur, ce type de manager retient les informations pour garder le contrôle. Il distribue les informations à doses calculées, reste vague sur certains sujets et manipule les faits à son avantage.
Gestion irrespectueuse : un manque de courtoisie
En plus de programmer des réunions tardives auxquelles il arrive en retard, le mauvais manager néglige souvent les règles élémentaires de politesse. Il empiète également sur la vie privée de ses employés, exigeant des sacrifices sans offrir de compensation.
Gestion émotionnelle : la faiblesse des mauvais managers
Centré sur lui-même, le mauvais manager manque d’intelligence émotionnelle et relationnelle. Il ne connaît pas bien ses collaborateurs et ne sait pas adapter son style de gestion en fonction des individus, pratiquant une gestion rigide.
Gestion stagnante : un obstacle au développement professionnel
Ne travaillant ni pour le bien-être ni pour le développement de son équipe, le mauvais manager est aussi un obstacle au développement professionnel individuel, rendant difficile la construction d’un plan de carrière ou l’accès à des opportunités de formation.
Les 17 erreurs de management qui provoquent des démissions
Comment identifier un manager toxique ?
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